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Yolande GERDIL

Hollywood - Au café - Theâtre Barnabé

Aussi loin que remontent mes souvenirs, je me vois en train de dessiner ce qui m’entoure, espérant retenir  l’instant que je sentais fugitif.

Mon premier « carnet » ce fut sans doute ces quelques feuilles remplies de baigneurs sur une plage où je m’ennuyais enfant. Il y eu aussi les marges de mes cahiers au collège avec la caricature des professeurs et des copains.

La couleur s’est imposée quand j’ai voulu croquer en voyage, avec l’aquarelle pour sa rapidité possible et la légèreté du matériel.

Depuis je dessine et peins partout et tout le temps, dans la solitude et le silence de la nature comme dans l’agitation d’une soirée.

Yolande GERDIL

« Un collègue carnettiste un jour m’a traitée d’aquarêveuse, j’ai aimé ce mot inventé et l’ai gardé comme surnom »

Au café théâtre Barnabé
Au café théâtre Barnabé
Au café théâtre Barnadé
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